Une nouvelle étude scientifique vient confirmer les bénéfices des “solutions fondées sur la nature”. L’INRAE, le CNRS et l’Université de La Rochelle ont montré, dans une nouvelle étude parue dans la revue américaine PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences), que combiner prairies permanentes et diversité des cultures dans les paysages agricoles favorise, dans les parcelles, la régulation des insectes ravageurs et des plantes adventices (“mauvaises herbes”). “La présence de prairies permanentes âgées permet de réduire de 19 % le nombre d’insectes ravageurs dans les parcelles. Les paysages avec une grande diversité de cultures réduisent de 6 % la présence des plantes adventices.”
L’étude a été menée pendant 7 ans dans 974 parcelles agricoles de la zone atelier Plaine et Val de Sèvre, territoire de 450 km2 situé dans le sud des Deux-Sèvres.
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